Nous avons été gratifié d'une nouvelle coulée mais de petite envergure et de courte durée. Quinze jours par rapport à l'éruption du "siècle" (presque 3 mois l'an dernier) c'est insignifiant. Cela ne peut pas être considéré comme une catastrophe vous en conviendrez.
Ça vaut bien une photo tout de même. Bon elle n'est pas de moi même si je précise que la première a été prise à bord de l'ULM avec lequel je m'entraîne !
Voilà c'est tout, car non "petit scarabée" Manu je ne prendrai pas la gaule que tu me tends avec tes bourses ... il n'est pas dit qu'un jour "Fifi" devienne vulgaire. Ah ça non vraiment, là se serait une catastrophe.
5 commentaires:
Eh bé ! je n'ai pas saisi tout de suite, mais un petit retour en arrière m'a permis d'apprécier un peu mieux la signification de l'échange... un point partout les garçons ! je suis depuis plus d'une heure à l'écoute d'un Nième débat sur la chute des bourses, l'effondrement des valeurs.... et ce petit détour sur le blog, pensais-je, allait me distraire de ce contexte, que nenni ! la crise et non la lave déferle sur le blog... alors, je dis " cha ba da ba da " et zou, je vais me coucher !!!!
Isa
Les bourses sont définitivement trop descendues. Il faut un suspensoir à 700 milliards de dollars... sinon la gaule tendue ne tiendra pas !
Mon Fifi, tu as toujours la classe et jamais tu ne seras vulgaire. La Fifi touch forever, les frangins.
J'ai vu rapidement ce "spécial Manu" qui m'a fait plaisir (en même temps je suis le seul à râler quand ça bouge pas). Je n'y ai pas répondu tout de suite parce que j'ai pris en plein dans le nez un bon gros fléau moderne "rhume/grippe/sinusite/extinction de voix (et des feux)". J'ai eu aussi une mauvaise nouvelle. J'utilise ce site ami, où je sais que je serai lu avec empathie, pour vous faire partager la triste nouvelle de la mort de mon grand-père. Ceux qui ont eu le plaisir de venir à mon mariage avec Jane, se souvienne sans doute de ce gentil vieillard (déjà à l'époque), qui nous avait arrosé à la Veuve Cliquot "open bar" et prévu la tente dans le jardin. Ceux qui me connaissent le savent bien, je dois beaucoup à cet homme, qui n'était pas sans défaut, mais qui avait beaucoup d'élégance et de d'humanité et que j'ai beaucoup aimé. Je me souviens de lui avec plaisir, et je ne suis pas le seul, ce qui est sans doute sa meilleure épitaphe. C'est lui qui avait tenu à signer mon certificat de mariage, en lieu et place d'un père absent.
Il est mort dans son sommeil au lendemain de son anniversaire, à 99 ans. Sa mémoire immédiate lui jouait des tours sur la fin (par exemple, quand il sortait une bouteille de champagne pour me faire plaisir, il en apportait une deuxième cinq minutes plus tard pour me faire plaisir), mais jamais le souvenir d'un bon poème, lu quand il était jeune et qu'il découvrait Baudelaire sous le manteau, ne l'a abandonné. Jusqu'au bout, il a pu rester chez lui où il a vécu le "naufrage" du grand âge avec une forme de détachement tranquille, sans faire de vague. Peut-être la plus belle de ses leçons.
Je l'enterre en famille au cimetière de Pontigny, au pied de l'Abbaye, demain jeudi.
Emmanuel Charlot
Tu as eu raison d'utiliser ce site "ami" pour nous faire partager cette nouvelle. Je n'ai pas eu le privilège de rencontrer ton grand-père, mais ce que je viens de lire m'a donné un instant l'impression de le connaître un peu. J'aurai une pensée pour toi et tes proches demain, lorsque vous serez au pied de l'Abbaye, à Pontigny.....
Isa
Très sincères condoléances
et "open blog" en souvenir de cet "open bar" si chaleureux.
Philippe
Mes sincères condoléances ami et bon courage.
Biz.
Sophie
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