Une aventure familiale sur l'Ile intense depuis août 2006
12 octobre 2009
ENCORE DE L'ORCHIDEE
Puisque les orchidées vous intéressent (ça se voit au nombre de commentaires !!), je vous présente notre collection, gardée par Lola (oui elle est brave).
Avec un gros plan sur la dernière acquisition de Sonia, cela date de ce matin.
Un bel ensemble avec plusieurs grappes à différents niveaux d'éclosion.
Alors heureux ??
43 commentaires:
Anonyme
a dit…
Désolée, c'est encore moi ! je réponds oui ! heureuse ! grâce aux orchidées, bien sûr, mais également parce que c'est bientôt:
J-carpe frite accompagnée d'un muscat alsacien,suivie d'un munster arrosé d'un "vendanges tardives"......
Ahhhhh, Isa! quelle entrée en la matière. Pour répondre à la question, heureuse et pour une fois, regrettant de ne pas habiter la Reunion ou tout autre coins de cette partie de la terre....Chaud, humide et propice à ces genres de plantes si difficile à entretenir... Alors, J-carpe frite accompagnée d'un muscat alsacien,suivie d'un munster arrosé d'un "vendanges tardives", je suis sur liste d'attente. Je t'envoie des signaux en bleu et en vert, car avec les nuages qui nous envahissent, je n'arrive plus a les distinguer correctement.
Quatre ronds de fumée en direction du balcon fruité du 14: quatre ronds comme des jantes ( chromées ou non ) habillées de gomme qui adhére bien sur l'asphalte ( c'est mieux ) et mues par des essieux eux-mêmes mus par - là j'abrège - soit un moteur à explosion ou électrique, l'ensemble surmonté d'un habitacle susceptible d'accueillir en toute sécurité la Menu Team au complet .... bref: une ouature ! quelques ronds de fumée disais-je donc pour rappeler au balcon fruité du 14 qu'il faudrait songer à la ouature réunionnaise pour dans bientôt "carpe frite accompagnée d'un muscat alsacien, suivie d'un munster arrosé d'un "vendanges tardives" jours; une ouature qui permettra à la Menu Team de profiter des orchidées, litchis, des Barbellion-Morel (tout de même !) et de toutes ces choses qui nous font rêver et parler et blogger et délirer ( avouons le ! )depuis 11 mois... DONC PENSEZ A LA OUATURE !!!!
A la veille de J-"couper un coq en morceaux, dans une cocotte, faire revenir les morceaux dans moitié d'huile, moitié de beurre, assaisonner et laisser cuire cinq minutes, saupoudrer persil, ail haché et échalotes, mouiller avec du Riesling et le bouillon, laisser mijoter à feux doux trente minutes environ, faire revenir des champignons de Paris dans le reste du beurre (!!?? il en reste ?!), verser dans la cocotte et juste avant de servir mélanger farine, jaune d'oeuf et crème ( ça manquait !), ajouter cette sauce dans la cocotte sans faire bouillir et servir avec des spaetzle fraîches", je dis: arrrgghhh! dos bloqué depuis ce matin,au fond du hamac dans la douleur, donc dans l'impossibilité de ramer et harcelée par les vibrations du téléphone portable, soutes vides (j'ai faim, donc je me rabats sur les bonnes recettes régionales) !!! vivement l'apparition des côtes réunionnaises !!!
Je crois qu'on y est déjà, à j- qqchose, et que là on est à la veille de j- Banyuls à l'apéritif, Vin de Collioure au repas, Muscat fruité pour le désert, et puis, "allez l'USAP"
Prats-de-Mollo-la-Preste (en catalan, Prats de Molló i la Presta) est une commune française, située dans la région Languedoc-Roussillon, département des Pyrénées-Orientales et dans le Haut Vallespir. Cernée de remparts, sa vieille ville médiévale aux ruelles pavées de galets est dominée par le fort Lagarde. Ce dernier fut bâti par Vauban au XVIIe siècle afin de contrôler la nouvelle frontière du traité des Pyrénées.
Ses habitants sont appelés les Pratéens
et voilà, c'est facile, un petit copié-collé de Wikipédia (j'entends des sifflets au fond de la salle), et tout le monde est au courant. En revanche, j'ouïs parler d'une petite commune au doux nom de Mérobert, ma première réflexion fut qu'il serait drôle qu'il y habitat un nommé Jules, dans Mérobert. Surement un thème à développer pour Joelopathe.
Sifflets dans la salle ! j'attendais quelque chose de plus inspiré, mais bon, ne décourageons pas les bloggers persévérants !! bon, Joël, moi y en a être toujours bloquée du dos au fond de mon lit avec mon stock d'anti-inflammatoires ( tu parles d'une compagnie !), j'espère être d'attaque demain, car nous serons J-confit de canard ou J-Fréchou-Fréchet ! tout un programme !
Je suis fortement désolé de la déception causée par ce wikitaulé, et pour me faire pardonner un petit poème qui me vaut en ce moment un franc succès. il s'intitule L'oiseau.
Accroché à cette branche , un oiseau m'épie .
Il secoue ses plumes , fait deux pas et pépie .
Plongeant son regard en moi , vole mon esprit ,
Me tourmente , torture mon âme , se l'approprie .
Je suis un oiseau , sur ma branche , et je regarde
Cet homme en bas , si ridicule , tel un garde ,
Crois que je vais voler une partie de lui .
Il se tient droit , dans son regard la haine luit .
Je résiste , l'oiseau n'aura pas mon esprit .
Je le regarde partir . Son vol , il a pris .
Très haut dans le ciel , il est monté , et revient .
Se posant ailleurs , attendant ce qu'il advient .
Je monte , m'éloigne , d'en haut tout est petit .
Je vois les immeubles qui ont été bâtis ,
Des véhicules , des gens tels des playmoblles .
Plus je monte , plus tout me parait immobile .
Il recommence , je m'énerve , j'en peux plus .
Il m'invite à voler , et avec lui en plus .
Je rentre chez moi , en moi , la colère gronde .
Je reviens , il est encore là , j'ai pris ma fronde .
L'homme est encore là , puis il part en colère .
Un moment de répit qui me donne de l'air .
Il a peur de moi ; qui ne suis lié à rien .
Il m'envie , car se sent retenu par ses liens .
Je vise l'oiseau , cause de mes tourments profonds .
Je lâche l'objet , avant de toucher le fond
Le projectile , lancé , m'atteint en plein coeur .
La pierre me pénètre , et prend place en mon coeur .
Je m'évanouis , et je tombe de ma branche .
Je suis affalé tel l'écrivain sur sa planche ,
Je regarde l'oiseau , je regarde cet homme .
Nous étions un , et à la fois l'oiseau et l'homme .
Donc, si je suis bien, aujourd'hui est J-Cauterets, Barèges, de bons vieux souvenirs pour nos amis réunionnais et d'autres, et puis J-Soubirou, Tour de france, pic du midi, cirque de Gavarnie. Et Jean passe.
Au fait savez vous que tout ce qui commence par H est dangereux. La Hache: objet coupant formé d'un manche appelé cognée, et d'une partie dur et tranchante, servant à couper le bois, branche et autres troncs, avec ses nombreuses variantes, pour couper têtes, membres et autres. Utilisées dans l'armée par les sapeurs pour saper, c'est à dire créer des ouvertures. Le Hun: barbare de l'est, qui voulait imposer que tout le monde tonde son gazon. La Haine: sentiment vulgaire qui consiste à mépriser l'autre au point de vouloir le détruire. Le Hun: Encore lui, souvent nommé Attila, Jean Charles disait dans La Foire Aux Cancres que les Huns faisaient la guerre pour chasser les autres. Le Hache Hun Haine Hun: virus terriblement populaire à l'heure actuelle dont on attend une grande tournée mondiale (l'équivalent d'un Mickael Jackson). Une terrible polémique est installée à propos de sa redoutable efficacité contre une population apparemment jeune et bien portante. Il choisit apparemment de ne pas s'occuper d'une population déjà malade. Mais le plus redoutable chez ce virus serait en fait son vaccin. Il semblerait que celui-ci comporterait des risques de développement chez une population jeune, de maladie neurologique. Le conseil actuel, qui n'est pas celui de notre gouvernement, qui voudrait surement se séparer d'une partie de la population, serait de préférer le virus à son vaccin. Il y aurait un plus faible pourcentage de décès que de maladies neurologiques. Mais chez les anglais aussi tout ce qui commence par H est dangereux.Ainsi en est-il pour "The Hungarian Dwarf". Hungarian Dwarf: il s'agirait apparemment d'un être mythologique, très dangereux qui chercherait à contrôler toute l'information, et à déterminer un mode de pensée unique, en se produisant régulièrement devant un public, et en s'entourant d'une bande de seconds rôles sans scrupule, qui n'hésitent pas à détruire toute les défenses des opposants en les dénigrant, et niant leur existence, en se référant de façon quasi systématique aux "valeurs de la démocratie". Certains visionnaires étrangers disent même que nous en avons chez nous, ici en France. Non, mais c'est impensable!
Bisous.
Joelopathe en l'air
Ps: au fait, Fifi, très jolies les orchidées! Et heureusement que j'utilise le mode anonyme pour publier ce commentaire...
Allez encore une fois, je vais devoir me faire pardonner. Tiens Isa, un petit texte pour toi (et pour tous les copains, euh!)
Transport de personne (Pâle imitation d'un Devos squelettique)
Je roulais tranquillement dans les rues de Paris. Les bouchons commençaient à m'ennuyer, aussi je m'engageais sur la voie de bus. Au bout de la voie, un énergumène excité, qui me rappelait vaguement quelqu'un, me siffle. Je m' arrête. C'était un policier. Bonjour monsieur. Si c'était un bon jour, je ne serais pas là. Vos papiers s'il vous plait! Je veux bien vous donner mes papiers mais il y en a beaucoup. Je cherche dans ma serviette, et lui tend mes dossiers. Vos papiers du véhicule. Insiste-t-il Mais ils sont chez moi, vous pensez bien que je ne sors pas avec les papiers de vente du véhicule, et le contrat du crédit, et le contrat d'assurance. Bon, j'ai à faire à un petit malin. Permis de conduire, carte grise, assurance du véhicule. Vous auriez pu le dire plus tôt! Lui rétorquais-je, en sortant les papiers de mon portefeuille. Mais pourquoi vous m'arrêtez? Vous étiez dans la voie du bus. Je n'ai pas entendu. Vous étiez dans la voie du bus. Hurle-t-il alors. Oui j'ai entendu. Mais vous m'aviez dit que vous n'avez pas entendu. Si, j'ai entendu. Non, vous n'aviez pas entendu. Je vous ai entendu, mais je n'ai pas entendu la voix du bus. Vous ne pouviez pas l'entendre, puisque vous étiez dessus. Je ne pense pas être si bruyant, pour être au dessus de la voix du bus. Je chantonnais peut-être un peu, mais sans plus. Vous n'avez pas le droit de rouler dans la voie du bus. Continua le policier excité. Et pourquoi? Lui demandais-je Parce que seuls les bus ont le droit de rouler sur la voie de bus. Je regardais la voie de bus, et je percevais des véhicules à quatre roues. Et eux, monsieur l'agent, vous ne les arrêtez pas? Lui demandais-je. Eux, ce sont des taxis, on les tolère. Ils font du transport de personne. Je voyais alors une grosse moto, qui passait dans la voie de bus, avec deux personnes. Celui à l'arrière tenait une serviette. Et eux alors? Eux aussi, ils font du transport de personnes. Ah non! Ils étaient deux. Pardon? Il transportait quelqu'un, ils étaient deux sur la moto. Et vous me dites qu'en faisant du transport de personne, on a le droit de rouler dans la voie de bus. Je vous ferais remarquer que moi j'étais tout seul. Je transportais personne. Oui, mais le transport de personne, c'est quand on transporte quelqu'un quelque part. Et moi sur ma moto, je ne suis pas quelqu'un. Oui, mais vous transportez personne. Hurlait-il. Ah! C'est bien ce que je disais, je fais du transport de Personne. Oui, mais eux, quand il transporte quelqu'un, ils font du transport de personne. Rétorqua le policier visiblement excédé., et soudainement pris d'une gesticulation intensive. Mais comment voulez-vous qu'en faisant du transport de quelqu'un, on fasse du transport de personne? Écoutez monsieur, je vous rend vos papiers, et je ne vous met pas d'amende. Allez circulez. Merci monsieur l'agent, mais si je transporte quelqu'un, je pourrai donc rouler sur la voie de bus? Vous savez que vous me rappelez quelqu'un. Ah! Maintenant, je suis quelqu'un. Je ne vous dirai pas que je suis personne, sinon vous allez encore vous mettre en colère. Mais excusez-moi, vous ne seriez pas ce chanteur comique aux textes si drôles. Comment déjà? Ah oui, Carlos? Oui, c'est çà. Allez au-revoir monsieur l'agent. Et soudain une éclair passa dans mon esprit, je reconnaissais l'excité. Dites-moi, par hasard, Vous ne vous appelleriez pas Truchot?
Merci Joël pour cette lecture distrayante amis j'ose espérer pour toi que tu ne pratiques pas la prose Devosienne avec la maréchaussée lorsque celle-ci t'arrête ! je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de "Cruchot" parmi eux, ni même d'adjudant Gerber ! il faut savoir les caresser dans le sens du poil aujourd'hui et s'armer de patience pour leur décrocher un sourire ou un signe furtif d'humour ! ils sont un peu stressés et sous pression eux aussi ! Dans la même veine, une histoire vraie: Un lieutenant de Céhéresse il y a environ 30 ans, dans une région de l'Est de la France, avait décidé un soir d'hiver de mettre en place un radar le long d'une nationale... il faisait nuit noire et terriblement froid.... il gare son véhicule de service sur un trottoir devant un garage automobile (que nous connaissons bien) et dont le patron - un ami - qu'il avait rencontré le matin même et à qui il avait fait part de son intention de contrôle de vitesse, lui avait dit de faire attention aux travaux en cours dans le village. Il ouvre sa portière et.... tombe dans une tranchée ouverte le jour même par nos amis Edééphe.... Après s'être sorti, non sans difficultés, de ce trou inopportun, son bel uniforme ( important pour la suite ) couvert de terre et un tantinet énervé, il décide de surseoir à ses velleités de contrôle et reprend son véhicule pour rentrer chez lui.... En chemin, un véhicule lui grille la politesse à main droite, il se dit " ah! je n'aurai pas complètement perdu ma soirée ! celui-là, je vais me le faire" ! Il poursuit le véhicule impoli, l'arrête et s'aperçoit... que le conducteur n'est autre que sa propre fille ! imaginez le grand moment de solitude de ce Céhéresse consciencieux ! A ce moment, totalement dépité, après avoir tout de même sermonée sa tendre progéniture ( père affectueux, certes, mais on reste professionnel quoiqu'il arrive ! ) il se dit que vraiment, cette soirée n'est pas la sienne et reprend la route... Un peu plus tard, arrêté à un feu rouge, que voit-il de ses deux yeux fatigués à lui ? un véhicule qui le dépasse et grille le feu ! sous son nez à lui itou !!! Notre brave lieutenant de la Céhéresse 39 ( car il faut la nommer ! prestigieuse brigade! ) réalise soudain qu'il a une chance de rattraper sa soirée et se lance à la poursuite dudit véhicule en se réjouissant à l'avance de pouvoir épingler quelqu'un !!! S'approchant du véhicule,le conducteur baissant sa vitre, il aperçoit une jeune femme qui s'exclame aussitôt " Ooohhh, Monsieur V..... ! comme vous êtes beeeau en unifoooorme !!!!" : c'était la fille du garagiste cité plus haut qui ne l'avait rencontré auparavant qu'en civil !!! à cet instant précis, le Lieutenant V.... a ressenti un découragement absolu, un vide sidéral et n'ayant même pas pu exprimer sa détresse, ni quoi que ce soit d'autre, bref restant totalement coi.... est finalement allé rejoindre sa moitié paisiblement endormie et ignorante, quand à elle, de la profonde solitude de son Céhéresse de mari en cette nuit hivernale.
Bon, c'est vrai dites-donc ! elles sont magnifiques ces orchidées !
Bon, toutes ces histoires de maréchaussée ne doivent pas nous faire perdre le fil: demain, c'est J-pot'je vlesch, avec une p'tite bière pour notre compère Manu !
Isa
Au fait, mon dos va mieux merci - lundi il n'y paraîtra plus et je pourrai de nouveau courir comme un cabri ! hop !
Bon, allez, on s'est emballés dans la course: aujourd'hui c'est en fait J - Pyrénées atlantiques ! à se demander si quelqu'un suit à part Joël !? C'est vrai que les Pyrénées Atlantiques, il connaît "par coeur" et les orchidées alors ? des spécialistes ?
Ayant régulièrement roulé en vélo de Mouguerre, à Bassussary, de Itxassou à Hendaye, je ne pouvais que m'amuser à écrire les aventures de Chichon le Basque.
Sinon pour les orchidées, Lola a l'air de connaitre. Je m'en remettrai donc à elle.
Alors là, je m'insurge! D'abord, des joints de culasse "pétés", j'en ai vu un paquet et pas en colliers ! plus exactement je les ai vu arriver de loin: pas difficile, ils sont toujours suivis de trés près par des nuages de fumée bien blanche.... hein Sophie !? Et, trés cher Joël, attends toi à la vengeance de Madame Mère qui devrait débarquer à J-7 au plus tard !
L'équipage de la charter-barque fait face à une mutinerie: Jekillopathe a pété un joint de culasse et met l'embarcation sens dessus dessous ! les Seven Dwarf ont soudain réalisé que leur mésaventure du 24 décembre 2008 était le fait de ce ......pathe! Nous avons cru embarquer 22 passagers, alors qu'en fait ils sont 23 ! Un .....pathe peut en cacher un autre! Grincheux s'est courageusement jeté sur ce monstre à deux têtes et nous avons pu maîtriser la créature et la mettre aux fers à fond de cale; Sophie la Goulue lui applique en ce moment même un traitement de choc pour neutraliser définitivement ce 23ème passager non désiré.... qui se cachait sous le pseudo "anomyme" depuis des années.... et dont le rire inquiétant vient tout juste de la trahir!
Revenons un peu sur le vrai sujet: les orchidées ! ces merveilles qui symbolisent 55 ans de mariage ( pfff! impressionnant!cela demande de la constance et... de la résistance!). OH! combien de maris, combien de fredaines Qui sont partis joyeux pour des jupettes dondaine, Dans ce morne horizon se sont évanouis! Combien ont disparu, dure et triste fortune! Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Sous l’aveugle océan à jamais enfouis!
Combien d'époux(ses)avec leurs amant(e)s! L’ouragan de leur vie a pris toutes les pages, Et d’un souffle il a tout dispersé sur les flots! Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée. Chaque vague en passant d’un butin s’est chargée; L’une a saisi l’homme, l’autre la femme!
Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues! Vous roulez à travers les sombres étendues, Heurtant de vos fronts naîfs des écueils inconnus. Oh! que d'orchidées, qui n’avaient plus qu’un rêve Se sont flétries en attendant tous les jours dans leur pot Ceux qui ne se sont pas retenus!
On s’entretient de vous parfois dans les veillées. Maint joyeux cercle, assis sur des ancres rouillées, Mêle encor quelque temps vos noms d’ombre couverts Aux rires, aux refrains, aux récits d’aventures, Aux baisers qu’on dérobe à vos belles futures, Tandis que vous dormez dans les goëmons verts!
On demande:—Où sont-ils? sont-ils rois (reines) dans quelque île? Nous ont-ils délaissé(e)s pour un bord plus fertile?— Puis votre souvenir même est enseveli. Le corps se perd dans l’eau, le nom dans la mémoire. Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sur le sombre océan jette le sombre oubli.
Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue. L’un n’a-t-il pas sa barque et l’autre sa charrue? Seules, durant ces nuits où l’orage est vainqueur, Vos ex aux fronts blancs, las(ses) de vous attendre, Parlent encor de vous en remuant la cendre De leur foyer et de leur cœur!
Et quand la tombe enfin a fermé leur paupiére, Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre Dans l’étroit cimetiére où l’ècho nous répond, Pas même un saule vert qui s’effeuille à l’automne, 40 Pas même la chanson naïve et monotone Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont!
Où sont-ils, les infidèles sombrés dans les nuits noires? Ô flots, que vous avez de lugubres histoires! Flots profonds, redoutés des mères à genoux! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c’est ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous.
Alors là, c'est impressionnant. le dimanche matin, avant la messe! J'ai du mal à être aussi fécond, (hein! Chérie! Si, si j'ai une témoin en plus!) Cet (te) anonyme a un plus d'un retour dans son ressac.
En attendant, en ce jour, La Bourboule-Le Mont-dore, 8km à pied, arrivés au Puy de Sancy 1886m, un regard sur la table d'orientation, avant de redescendre, retour vers La Bourboule, 8km, arrêt dans une auberge auvergnate pour le gouter, et là: "casse-croute auvergnat". On s'attend à un sandwich garni en charcuteries, que nenni! Assiette de charcuterie, omelette, salade, assiette de fromage, pain de campagne, le tout pour la modeste addition qui équivaut au prix du sandwich parisien! Sommes-nous dans un autre pays? Non, c'est simplement la province!
Bisous
Joelopathe
Ps: tant que je suis sur la gastronomie, sachez que récemment, ma petite femme m'a gentiment fait gouter un met ô combien subtil et délicat, parfumé et tendre, convenant parfaitement à ma Joelopathie: des mamelles (tétons ou pis, comme vous voudrez) de vaches. Si vous voulez savoir, en tant que Joelopathe, je préfère me contenter des expériences tactiles, auxquelles Joelopathe s'est livré, fut-ce même sur la personne de Louis XIV.
Ces orchidées sont vraiment jolis, sauf que ce n'est pas évident, comme ce superbe poème. Merci à vous compositeurs, car ces proses me comblent de bonheur. et je pense ne pas être la seule personne a apprécier ces vers.
Elle est à toi cette chanson Toi l'Auvergnat qui sans façon M'as donné quatre bouts de bois Quand dans ma vie il faisait froid Toi qui m'as donné du feu quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés M'avaient fermé la porte au nez Ce n'était rien qu'un feu de bois Mais il m'avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manièr' d'un feu de joie
Toi l'Auvergnat quand tu mourras Quand le croqu'mort t'emportera Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel
Elle est à toi cette chanson Toi l'hôtesse qui sans façon M'as donné quatre bouts de pain Quand dans ma vie il faisait faim Toi qui m'ouvris ta huche quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés S'amusaient à me voir jeûner Ce n'était rien qu'un peu de pain Mais il m'avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manièr' d'un grand festin
Toi l'hôtesse quand tu mourras Quand le croqu'mort t'emportera Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel
Elle est à toi cette chanson Toi l'étranger qui sans façon D'un air malheureux m'as souri Lorsque les gendarmes m'ont pris Toi qui n'as pas applaudi quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés Riaient de me voir emmener Ce n'était rien qu'un peu de miel Mais il m'avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manièr' d'un grand soleil
Toi l'étranger quand tu mourras Quand le croqu'mort t'emportera Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel.
Je ne parlais pas des "Seven Dwarfs", juste des petits, en mon esprit un seul nom: "The hungarian Dwarf". Seul cet être fourbe est capable de brouiller les cartes et de signer ses commentaires "Anonymous". et même de se glisser dans la peau de plusieurs commentateurs; Méfiez vous "The Hungarian Dwarf" sait tout, contrôle tout, et se glisse par tout.
Ah! Oui, c'est vrai. Il parait que les "Dwarfs" se nourrissent d'orchidées. Créons le CSOCD (Comité de Sauvegarde des Orchidées Contre les "Dwarfs"). Et que les "Seven Dwarfs" soient éduqués dans le respect des orchidées, et nourris aux excellents beignets de fleurs de courgettes de notre matriarche dite "la Goulue".
Bises
Joël (qui en tout bien tout honneur apprécie les magnifiques photos d'orchidées de notre ami néo-réunionnais depuis trois ans (est-ce qu'on est néo quand on est quelque part depuis trois ans (oups, j'ai failli mettre deux ans, que le temps passe)))
Il est dans ces contrées, une petite ville en bord de mer. Connue pour son bon air marin, on y construisit des bâtiments pouvant accueillir une population atteinte de maladies pulmonaires. On appela le premier lieu "Hopital Maritime". Comme à l'époque, l'atteinte de tuberculose pouvait se localiser sur les bronches, mais aussi sur les os, ces hôpitaux, car on en avait construit d'autres, prirent l'habitude d'accueillir des enfants atteints de malformations osseuses. Par la suite, il y eut la spécialisation en maladies osseuses, et opérations de tous genres. On estimait que le bon air marin facilitait la reconstruction osseuse. Actuellement, il y exerce encore de grands noms de la chirurgie osseuse, qui même s'ils ne sont pas les premiers, en sont au moins la descendance directe. Un lieu charmant où pullulent fauteuils roulants en tout genre, béquilles et cannes anglaises. Une petite ville où il fait bon être en convalescence. Un bord de mer, où , rappelons-le s'il est besoin, il fait bon respirer. Pourtant, ce que je n'arrive toujours pas à m'expliquer, c'est pourquoi a-t-on nommé cette petite ville "BERCK"
Cette ville doit son nom à des envahisseurs germaniques, attirés par les rivages de la Gaule entre le IIIème et le IXème siècle: - en 1215: BERC - en 1223 et 1311: BERCK - en 1408: BAERC - en 1507: BERCQ sur Mer - en 1610: BERQUES sur la Mer - en 1671: BERQUE - en 1741: BERG - en 1758: BERK sur Mer et aujourd'hui: BERCK sur Mer
Trois hypothèses sont en compétition: berg ( mont en germanique désignant une colline de sable ) ou bekkr ( ruisseau en scandinave pour la rivière qui y coulait ) et beorc ( bouleau en saxon pour désigner une région boisée )....
Je savais que je pouvais compter sur toi. Mais peut-être que s'il y avait plus de ces belles orchidées que l'on voit sur le blog de Fifi, on n'aurait jamais appelé cette ville: Berck.
Bisous
Jopathoël
Ps: très chouette la photo de Lola, veillant les orchidées.
43 commentaires:
Désolée, c'est encore moi ! je réponds oui ! heureuse ! grâce aux orchidées, bien sûr, mais également parce que c'est bientôt:
J-carpe frite accompagnée d'un muscat alsacien,suivie d'un munster arrosé d'un "vendanges tardives"......
Isa
Ahhhhh, Isa! quelle entrée en la matière.
Pour répondre à la question, heureuse et pour une fois, regrettant de ne pas habiter la Reunion ou tout autre coins de cette partie de la terre....Chaud, humide et propice à ces genres de plantes si difficile à entretenir...
Alors, J-carpe frite accompagnée d'un muscat alsacien,suivie d'un munster arrosé d'un "vendanges tardives", je suis sur liste d'attente.
Je t'envoie des signaux en bleu et en vert, car avec les nuages qui nous envahissent, je n'arrive plus a les distinguer correctement.
Le balcon fruité du 14.
Quatre ronds de fumée en direction du balcon fruité du 14: quatre ronds comme des jantes ( chromées ou non ) habillées de gomme qui adhére bien sur l'asphalte ( c'est mieux ) et mues par des essieux eux-mêmes mus par - là j'abrège - soit un moteur à explosion ou électrique, l'ensemble surmonté d'un habitacle susceptible d'accueillir en toute sécurité la Menu Team au complet .... bref: une ouature ! quelques ronds de fumée disais-je donc pour rappeler au balcon fruité du 14 qu'il faudrait songer à la ouature réunionnaise pour dans bientôt "carpe frite accompagnée d'un muscat alsacien, suivie d'un munster arrosé d'un "vendanges tardives" jours; une ouature qui permettra à la Menu Team de profiter des orchidées, litchis, des Barbellion-Morel (tout de même !) et de toutes ces choses qui nous font rêver et parler et blogger et délirer ( avouons le ! )depuis 11 mois... DONC PENSEZ A LA OUATURE !!!!
Isabella Juanjeorge
A la veille de J-"couper un coq en morceaux, dans une cocotte, faire revenir les morceaux dans moitié d'huile, moitié de beurre, assaisonner et laisser cuire cinq minutes, saupoudrer persil, ail haché et échalotes, mouiller avec du Riesling et le bouillon, laisser mijoter à feux doux trente minutes environ, faire revenir des champignons de Paris dans le reste du beurre (!!?? il en reste ?!), verser dans la cocotte et juste avant de servir mélanger farine, jaune d'oeuf et crème ( ça manquait !), ajouter cette sauce dans la cocotte sans faire bouillir et servir avec des spaetzle fraîches", je dis: arrrgghhh! dos bloqué depuis ce matin,au fond du hamac dans la douleur, donc dans l'impossibilité de ramer et harcelée par les vibrations du téléphone portable, soutes vides (j'ai faim, donc je me rabats sur les bonnes recettes régionales) !!! vivement l'apparition des côtes réunionnaises !!!
Isa
Je crois qu'on y est déjà, à j- qqchose, et que là on est à la veille de j- Banyuls à l'apéritif, Vin de Collioure au repas, Muscat fruité pour le désert, et puis, "allez l'USAP"
Bises
jo El
Ah, bin, non, ça y est, on y est. Au fait sympa les fleurs.
Re jo El
Oh là ! tu vas trop vite pour moi ! donc J-Prats de Mollo La Preste !
Amuse toi un peu avec ça !
Isa
Prats-de-Mollo-la-Preste (en catalan, Prats de Molló i la Presta) est une commune française, située dans la région Languedoc-Roussillon, département des Pyrénées-Orientales et dans le Haut Vallespir. Cernée de remparts, sa vieille ville médiévale aux ruelles pavées de galets est dominée par le fort Lagarde. Ce dernier fut bâti par Vauban au XVIIe siècle afin de contrôler la nouvelle frontière du traité des Pyrénées.
Ses habitants sont appelés les Pratéens
et voilà, c'est facile, un petit copié-collé de Wikipédia (j'entends des sifflets au fond de la salle), et tout le monde est au courant.
En revanche, j'ouïs parler d'une petite commune au doux nom de Mérobert, ma première réflexion fut qu'il serait drôle qu'il y habitat un nommé Jules, dans Mérobert. Surement un thème à développer pour Joelopathe.
Bisous
Joelopathe à Tra
Sifflets dans la salle ! j'attendais quelque chose de plus inspiré, mais bon, ne décourageons pas les bloggers persévérants !! bon, Joël, moi y en a être toujours bloquée du dos au fond de mon lit avec mon stock d'anti-inflammatoires ( tu parles d'une compagnie !), j'espère être d'attaque demain, car nous serons J-confit de canard ou J-Fréchou-Fréchet ! tout un programme !
Isa
Je suis fortement désolé de la déception causée par ce wikitaulé, et pour me faire pardonner un petit poème qui me vaut en ce moment un franc succès. il s'intitule L'oiseau.
Accroché à cette branche , un oiseau m'épie .
Il secoue ses plumes , fait deux pas et pépie .
Plongeant son regard en moi , vole mon esprit ,
Me tourmente , torture mon âme , se l'approprie .
Je suis un oiseau , sur ma branche , et je regarde
Cet homme en bas , si ridicule , tel un garde ,
Crois que je vais voler une partie de lui .
Il se tient droit , dans son regard la haine luit .
Je résiste , l'oiseau n'aura pas mon esprit .
Je le regarde partir . Son vol , il a pris .
Très haut dans le ciel , il est monté , et revient .
Se posant ailleurs , attendant ce qu'il advient .
Je monte , m'éloigne , d'en haut tout est petit .
Je vois les immeubles qui ont été bâtis ,
Des véhicules , des gens tels des playmoblles .
Plus je monte , plus tout me parait immobile .
Il recommence , je m'énerve , j'en peux plus .
Il m'invite à voler , et avec lui en plus .
Je rentre chez moi , en moi , la colère gronde .
Je reviens , il est encore là , j'ai pris ma fronde .
L'homme est encore là , puis il part en colère .
Un moment de répit qui me donne de l'air .
Il a peur de moi ; qui ne suis lié à rien .
Il m'envie , car se sent retenu par ses liens .
Je vise l'oiseau , cause de mes tourments profonds .
Je lâche l'objet , avant de toucher le fond
Le projectile , lancé , m'atteint en plein coeur .
La pierre me pénètre , et prend place en mon coeur .
Je m'évanouis , et je tombe de ma branche .
Je suis affalé tel l'écrivain sur sa planche ,
Je regarde l'oiseau , je regarde cet homme .
Nous étions un , et à la fois l'oiseau et l'homme .
JOHM
Joelopathe Kinépouet
et voilà,
Grosses bises et bonne nuit
Jo pattes aux ailes
(....) coite et re coite.
Tricorne bas mon ami !
Isa
Donc, si je suis bien, aujourd'hui est J-Cauterets, Barèges, de bons vieux souvenirs pour nos amis réunionnais et d'autres, et puis J-Soubirou, Tour de france, pic du midi, cirque de Gavarnie. Et Jean passe.
Au fait savez vous que tout ce qui commence par H est dangereux.
La Hache: objet coupant formé d'un manche appelé cognée, et d'une partie dur et tranchante, servant à couper le bois, branche et autres troncs, avec ses nombreuses variantes, pour couper têtes, membres et autres. Utilisées dans l'armée par les sapeurs pour saper, c'est à dire créer des ouvertures.
Le Hun: barbare de l'est, qui voulait imposer que tout le monde tonde son gazon.
La Haine: sentiment vulgaire qui consiste à mépriser l'autre au point de vouloir le détruire.
Le Hun: Encore lui, souvent nommé Attila, Jean Charles disait dans La Foire Aux Cancres que les Huns faisaient la guerre pour chasser les autres.
Le Hache Hun Haine Hun: virus terriblement populaire à l'heure actuelle dont on attend une grande tournée mondiale (l'équivalent d'un Mickael Jackson). Une terrible polémique est installée à propos de sa redoutable efficacité contre une population apparemment jeune et bien portante. Il choisit apparemment de ne pas s'occuper d'une population déjà malade. Mais le plus redoutable chez ce virus serait en fait son vaccin. Il semblerait que celui-ci comporterait des risques de développement chez une population jeune, de maladie neurologique. Le conseil actuel, qui n'est pas celui de notre gouvernement, qui voudrait surement se séparer d'une partie de la population, serait de préférer le virus à son vaccin. Il y aurait un plus faible pourcentage de décès que de maladies neurologiques.
Mais chez les anglais aussi tout ce qui commence par H est dangereux.Ainsi en est-il pour "The Hungarian Dwarf".
Hungarian Dwarf: il s'agirait apparemment d'un être mythologique, très dangereux qui chercherait à contrôler toute l'information, et à déterminer un mode de pensée unique, en se produisant régulièrement devant un public, et en s'entourant d'une bande de seconds rôles sans scrupule, qui n'hésitent pas à détruire toute les défenses des opposants en les dénigrant, et niant leur existence, en se référant de façon quasi systématique aux "valeurs de la démocratie".
Certains visionnaires étrangers disent même que nous en avons chez nous, ici en France. Non, mais c'est impensable!
Bisous.
Joelopathe en l'air
Ps: au fait, Fifi, très jolies les orchidées!
Et heureusement que j'utilise le mode anonyme pour publier ce commentaire...
J'envisageais J-Aiziritze-Gamue-Zohazti, mais Joël m'a coiffée au poteau ! donc je n'ai plus qu'à préparer J-Moulin de Richard de Bas !
Isa
Allez encore une fois, je vais devoir me faire pardonner. Tiens Isa, un petit texte pour toi (et pour tous les copains, euh!)
Transport de personne
(Pâle imitation d'un Devos squelettique)
Je roulais tranquillement dans les rues de Paris. Les bouchons commençaient à m'ennuyer, aussi je m'engageais sur la voie de bus. Au bout de la voie, un énergumène excité, qui me rappelait vaguement quelqu'un, me siffle. Je m' arrête. C'était un policier.
Bonjour monsieur.
Si c'était un bon jour, je ne serais pas là.
Vos papiers s'il vous plait!
Je veux bien vous donner mes papiers mais il y en a beaucoup.
Je cherche dans ma serviette, et lui tend mes dossiers.
Vos papiers du véhicule. Insiste-t-il
Mais ils sont chez moi, vous pensez bien que je ne sors pas avec les papiers de vente du véhicule, et le contrat du crédit, et le contrat d'assurance.
Bon, j'ai à faire à un petit malin. Permis de conduire, carte grise, assurance du véhicule.
Vous auriez pu le dire plus tôt! Lui rétorquais-je, en sortant les papiers de mon portefeuille. Mais pourquoi vous m'arrêtez?
Vous étiez dans la voie du bus.
Je n'ai pas entendu.
Vous étiez dans la voie du bus. Hurle-t-il alors.
Oui j'ai entendu.
Mais vous m'aviez dit que vous n'avez pas entendu.
Si, j'ai entendu.
Non, vous n'aviez pas entendu.
Je vous ai entendu, mais je n'ai pas entendu la voix du bus.
Vous ne pouviez pas l'entendre, puisque vous étiez dessus.
Je ne pense pas être si bruyant, pour être au dessus de la voix du bus. Je chantonnais peut-être un peu, mais sans plus.
Vous n'avez pas le droit de rouler dans la voie du bus. Continua le policier excité.
Et pourquoi? Lui demandais-je
Parce que seuls les bus ont le droit de rouler sur la voie de bus.
Je regardais la voie de bus, et je percevais des véhicules à quatre roues.
Et eux, monsieur l'agent, vous ne les arrêtez pas? Lui demandais-je.
Eux, ce sont des taxis, on les tolère. Ils font du transport de personne.
Je voyais alors une grosse moto, qui passait dans la voie de bus, avec deux personnes. Celui à l'arrière tenait une serviette.
Et eux alors?
Eux aussi, ils font du transport de personnes.
Ah non! Ils étaient deux.
Pardon?
Il transportait quelqu'un, ils étaient deux sur la moto. Et vous me dites qu'en faisant du transport de personne, on a le droit de rouler dans la voie de bus. Je vous ferais remarquer que moi j'étais tout seul. Je transportais personne.
Oui, mais le transport de personne, c'est quand on transporte quelqu'un quelque part.
Et moi sur ma moto, je ne suis pas quelqu'un.
Oui, mais vous transportez personne. Hurlait-il.
Ah! C'est bien ce que je disais, je fais du transport de Personne.
Oui, mais eux, quand il transporte quelqu'un, ils font du transport de personne. Rétorqua le policier visiblement excédé., et soudainement pris d'une gesticulation intensive.
Mais comment voulez-vous qu'en faisant du transport de quelqu'un, on fasse du transport de personne?
Écoutez monsieur, je vous rend vos papiers, et je ne vous met pas d'amende. Allez circulez.
Merci monsieur l'agent, mais si je transporte quelqu'un, je pourrai donc rouler sur la voie de bus?
Vous savez que vous me rappelez quelqu'un.
Ah! Maintenant, je suis quelqu'un. Je ne vous dirai pas que je suis personne, sinon vous allez encore vous mettre en colère.
Mais excusez-moi, vous ne seriez pas ce chanteur comique aux textes si drôles. Comment déjà? Ah oui, Carlos?
Oui, c'est çà. Allez au-revoir monsieur l'agent.
Et soudain une éclair passa dans mon esprit, je reconnaissais l'excité.
Dites-moi, par hasard, Vous ne vous appelleriez pas Truchot?
Au fait isa, comment va ton dos?
Bisous à tous les lecteurs du glob
Jo
Ps: au fait Fifi, sympa les .. Orchidées!
Heureusement que j'envoie toujours sur anonyme.
Merci Joël pour cette lecture distrayante amis j'ose espérer pour toi que tu ne pratiques pas la prose Devosienne avec la maréchaussée lorsque celle-ci t'arrête ! je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de "Cruchot" parmi eux, ni même d'adjudant Gerber ! il faut savoir les caresser dans le sens du poil aujourd'hui et s'armer de patience pour leur décrocher un sourire ou un signe furtif d'humour ! ils sont un peu stressés et sous pression eux aussi !
Dans la même veine, une histoire vraie:
Un lieutenant de Céhéresse il y a environ 30 ans, dans une région de l'Est de la France, avait décidé un soir d'hiver de mettre en place un radar le long d'une nationale... il faisait nuit noire et terriblement froid.... il gare son véhicule de service sur un trottoir devant un garage automobile (que nous connaissons bien) et dont le patron - un ami - qu'il avait rencontré le matin même et à qui il avait fait part de son intention de contrôle de vitesse, lui avait dit de faire attention aux travaux en cours dans le village. Il ouvre sa portière et.... tombe dans une tranchée ouverte le jour même par nos amis Edééphe.... Après s'être sorti, non sans difficultés, de ce trou inopportun, son bel uniforme ( important pour la suite ) couvert de terre et un tantinet énervé, il décide de surseoir à ses velleités de contrôle et reprend son véhicule pour rentrer chez lui.... En chemin, un véhicule lui grille la politesse à main droite, il se dit " ah! je n'aurai pas complètement perdu ma soirée ! celui-là, je vais me le faire" ! Il poursuit le véhicule impoli, l'arrête et s'aperçoit... que le conducteur n'est autre que sa propre fille ! imaginez le grand moment de solitude de ce Céhéresse consciencieux ! A ce moment, totalement dépité, après avoir tout de même sermonée sa tendre progéniture ( père affectueux, certes, mais on reste professionnel quoiqu'il arrive ! ) il se dit que vraiment, cette soirée n'est pas la sienne et reprend la route... Un peu plus tard, arrêté à un feu rouge, que voit-il de ses deux yeux fatigués à lui ? un véhicule qui le dépasse et grille le feu ! sous son nez à lui itou !!! Notre brave lieutenant de la Céhéresse 39 ( car il faut la nommer ! prestigieuse brigade! ) réalise soudain qu'il a une chance de rattraper sa soirée et se lance à la poursuite dudit véhicule en se réjouissant à l'avance de pouvoir épingler quelqu'un !!! S'approchant du véhicule,le conducteur baissant sa vitre, il aperçoit une jeune femme qui s'exclame aussitôt " Ooohhh, Monsieur V..... ! comme vous êtes beeeau en unifoooorme !!!!" : c'était la fille du garagiste cité plus haut qui ne l'avait rencontré auparavant qu'en civil !!! à cet instant précis, le Lieutenant V.... a ressenti un découragement absolu, un vide sidéral et n'ayant même pas pu exprimer sa détresse, ni quoi que ce soit d'autre, bref restant totalement coi.... est finalement allé rejoindre sa moitié paisiblement endormie et ignorante, quand à elle, de la profonde solitude de son Céhéresse de mari en cette nuit hivernale.
Bon, c'est vrai dites-donc ! elles sont magnifiques ces orchidées !
Isa
Anonyme itou
Bon, toutes ces histoires de maréchaussée ne doivent pas nous faire perdre le fil: demain, c'est J-pot'je vlesch, avec une p'tite bière pour notre compère Manu !
Isa
Au fait, mon dos va mieux merci - lundi il n'y paraîtra plus et je pourrai de nouveau courir comme un cabri ! hop !
Bon, allez, on s'est emballés dans la course: aujourd'hui c'est en fait J - Pyrénées atlantiques ! à se demander si quelqu'un suit à part Joël !?
C'est vrai que les Pyrénées Atlantiques, il connaît "par coeur" et les orchidées alors ? des spécialistes ?
Isa
Ayant régulièrement roulé en vélo de Mouguerre, à Bassussary, de Itxassou à Hendaye, je ne pouvais que m'amuser à écrire les aventures de Chichon le Basque.
Sinon pour les orchidées, Lola a l'air de connaitre. Je m'en remettrai donc à elle.
Grosses bises
Joel
Ps: en ce jour, allez Biarritz, et allez Bayonne
Tant qu'elle ( Lola ) ne confond pas les orchidées avec des filtres de robots de piscine ! une autre de ses spécialités paraît-il !
Isa
Pour tous un lien spécial; si vous ne connaissiez pas le métier si noble de garagiste.
Joel Oh! Pat
http://www.dailymotion.com/related/x3xq4g/video/x8wum1_daniel-prevost-garage-gaudin-clip-c_fun
Alors là, je m'insurge! D'abord, des joints de culasse "pétés", j'en ai vu un paquet et pas en colliers ! plus exactement je les ai vu arriver de loin: pas difficile, ils sont toujours suivis de trés près par des nuages de fumée bien blanche.... hein Sophie !? Et, trés cher Joël, attends toi à la vengeance de Madame Mère qui devrait débarquer à J-7 au plus tard !
Isa
Ah! Ah! Ah!
Anonyme
L'équipage de la charter-barque fait face à une mutinerie: Jekillopathe a pété un joint de culasse et met l'embarcation sens dessus dessous ! les Seven Dwarf ont soudain réalisé que leur mésaventure du 24 décembre 2008 était le fait de ce ......pathe! Nous avons cru embarquer 22 passagers, alors qu'en fait ils sont 23 ! Un .....pathe peut en cacher un autre! Grincheux s'est courageusement jeté sur ce monstre à deux têtes et nous avons pu maîtriser la créature et la mettre aux fers à fond de cale; Sophie la Goulue lui applique en ce moment même un traitement de choc pour neutraliser définitivement ce 23ème passager non désiré.... qui se cachait sous le pseudo "anomyme" depuis des années.... et dont le rire inquiétant vient tout juste de la trahir!
Eh éh éh éh !
Isabella Juanjeorge
Ouf, J-lo Puèi de Doma !
Isa
Revenons un peu sur le vrai sujet: les orchidées ! ces merveilles qui symbolisent 55 ans de mariage ( pfff! impressionnant!cela demande de la constance et... de la résistance!).
OH! combien de maris, combien de fredaines
Qui sont partis joyeux pour des jupettes dondaine,
Dans ce morne horizon se sont évanouis!
Combien ont disparu, dure et triste fortune!
Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune,
Sous l’aveugle océan à jamais enfouis!
Combien d'époux(ses)avec leurs amant(e)s!
L’ouragan de leur vie a pris toutes les pages,
Et d’un souffle il a tout dispersé sur les flots!
Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée.
Chaque vague en passant d’un butin s’est chargée;
L’une a saisi l’homme, l’autre la femme!
Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues!
Vous roulez à travers les sombres étendues,
Heurtant de vos fronts naîfs des écueils inconnus.
Oh! que d'orchidées, qui n’avaient plus qu’un rêve
Se sont flétries en attendant tous les jours dans leur pot
Ceux qui ne se sont pas retenus!
On s’entretient de vous parfois dans les veillées.
Maint joyeux cercle, assis sur des ancres rouillées,
Mêle encor quelque temps vos noms d’ombre couverts
Aux rires, aux refrains, aux récits d’aventures,
Aux baisers qu’on dérobe à vos belles futures,
Tandis que vous dormez dans les goëmons verts!
On demande:—Où sont-ils? sont-ils rois (reines) dans quelque île?
Nous ont-ils délaissé(e)s pour un bord plus fertile?—
Puis votre souvenir même est enseveli.
Le corps se perd dans l’eau, le nom dans la mémoire.
Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire,
Sur le sombre océan jette le sombre oubli.
Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue.
L’un n’a-t-il pas sa barque et l’autre sa charrue?
Seules, durant ces nuits où l’orage est vainqueur,
Vos ex aux fronts blancs, las(ses) de vous attendre,
Parlent encor de vous en remuant la cendre
De leur foyer et de leur cœur!
Et quand la tombe enfin a fermé leur paupiére,
Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre
Dans l’étroit cimetiére où l’ècho nous répond,
Pas même un saule vert qui s’effeuille à l’automne, 40
Pas même la chanson naïve et monotone
Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont!
Où sont-ils, les infidèles sombrés dans les nuits noires?
Ô flots, que vous avez de lugubres histoires!
Flots profonds, redoutés des mères à genoux!
Vous vous les racontez en montant les marées,
Et c’est ce qui vous fait ces voix désespérées
Que vous avez le soir quand vous venez vers nous.
Sauvons les orchidées !
Anomyme
Alors là, c'est impressionnant. le dimanche matin, avant la messe! J'ai du mal à être aussi fécond, (hein! Chérie! Si, si j'ai une témoin en plus!)
Cet (te) anonyme a un plus d'un retour dans son ressac.
En attendant, en ce jour, La Bourboule-Le Mont-dore, 8km à pied, arrivés au Puy de Sancy 1886m, un regard sur la table d'orientation, avant de redescendre, retour vers La Bourboule, 8km, arrêt dans une auberge auvergnate pour le gouter, et là: "casse-croute auvergnat". On s'attend à un sandwich garni en charcuteries, que nenni! Assiette de charcuterie, omelette, salade, assiette de fromage, pain de campagne, le tout pour la modeste addition qui équivaut au prix du sandwich parisien! Sommes-nous dans un autre pays? Non, c'est simplement la province!
Bisous
Joelopathe
Ps: tant que je suis sur la gastronomie, sachez que récemment, ma petite femme m'a gentiment fait gouter un met ô combien subtil et délicat, parfumé et tendre, convenant parfaitement à ma Joelopathie: des mamelles (tétons ou pis, comme vous voudrez) de vaches. Si vous voulez savoir, en tant que Joelopathe, je préfère me contenter des expériences tactiles, auxquelles Joelopathe s'est livré, fut-ce même sur la personne de Louis XIV.
Ces orchidées sont vraiment jolis, sauf que ce n'est pas évident, comme ce superbe poème.
Merci à vous compositeurs, car ces proses me comblent de bonheur. et je pense ne pas être la seule personne a apprécier ces vers.
Biz.
Sophie.
Elle est à toi cette chanson
Toi l'Auvergnat qui sans façon
M'as donné quatre bouts de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez
Ce n'était rien qu'un feu de bois
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un feu de joie
Toi l'Auvergnat quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel
Elle est à toi cette chanson
Toi l'hôtesse qui sans façon
M'as donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim
Toi qui m'ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
S'amusaient à me voir jeûner
Ce n'était rien qu'un peu de pain
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un grand festin
Toi l'hôtesse quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel
Elle est à toi cette chanson
Toi l'étranger qui sans façon
D'un air malheureux m'as souri
Lorsque les gendarmes m'ont pris
Toi qui n'as pas applaudi quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
Riaient de me voir emmener
Ce n'était rien qu'un peu de miel
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un grand soleil
Toi l'étranger quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel.
Et toc!
Jekillanonyme
Oui bon! Là Brassens, trop facile!
Le pouvoir n'appartient pas qu'à ceux qui savent; les petits, pour peu qu'ils soient malins, peuvent tourner la défaite à leur avantage.
Bisous
Jo aile au pas Te
Qui parle de défaite ? la partie n'est pas terminée....
The Seven Dwarfs
Je ne parlais pas des "Seven Dwarfs",
juste des petits, en mon esprit un seul nom: "The hungarian Dwarf". Seul cet être fourbe est capable de brouiller les cartes et de signer ses commentaires "Anonymous". et même de se glisser dans la peau de plusieurs commentateurs; Méfiez vous "The Hungarian Dwarf" sait tout, contrôle tout, et se glisse par tout.
Le Jo patho
Sauf à bord de la charter barque ! on y veille !
Isa
Plouf à l'eau!!!!
T'as raison! mais sans éclabousser ces magnifiques orchidées, dont nous ne devons pas oublier la beauté!
Isa
Ah! Oui, c'est vrai. Il parait que les "Dwarfs" se nourrissent d'orchidées. Créons le CSOCD (Comité de Sauvegarde des Orchidées Contre les "Dwarfs").
Et que les "Seven Dwarfs" soient éduqués dans le respect des orchidées, et nourris aux excellents beignets de fleurs de courgettes de notre matriarche dite "la Goulue".
Bises
Joël (qui en tout bien tout honneur apprécie les magnifiques photos d'orchidées de notre ami néo-réunionnais depuis trois ans (est-ce qu'on est néo quand on est quelque part depuis trois ans (oups, j'ai failli mettre deux ans, que le temps passe)))
Et houps, Le Record m'est dû....Trop facile.
Sans poème et sans "dwarf".
La Goulue.
J - waterzooï....de poulet
Isa
Il est dans ces contrées, une petite ville en bord de mer. Connue pour son bon air marin, on y construisit des bâtiments pouvant accueillir une population atteinte de maladies pulmonaires. On appela le premier lieu "Hopital Maritime". Comme à l'époque, l'atteinte de tuberculose pouvait se localiser sur les bronches, mais aussi sur les os, ces hôpitaux, car on en avait construit d'autres, prirent l'habitude d'accueillir des enfants atteints de malformations osseuses. Par la suite, il y eut la spécialisation en maladies osseuses, et opérations de tous genres. On estimait que le bon air marin facilitait la reconstruction osseuse. Actuellement, il y exerce encore de grands noms de la chirurgie osseuse, qui même s'ils ne sont pas les premiers, en sont au moins la descendance directe. Un lieu charmant où pullulent fauteuils roulants en tout genre, béquilles et cannes anglaises. Une petite ville où il fait bon être en convalescence. Un bord de mer, où , rappelons-le s'il est besoin, il fait bon respirer.
Pourtant, ce que je n'arrive toujours pas à m'expliquer, c'est pourquoi a-t-on nommé cette petite ville "BERCK"
Joëlo Pat
Cette ville doit son nom à des envahisseurs germaniques, attirés par les rivages de la Gaule entre le IIIème et le IXème siècle:
- en 1215: BERC
- en 1223 et 1311: BERCK
- en 1408: BAERC
- en 1507: BERCQ sur Mer
- en 1610: BERQUES sur la Mer
- en 1671: BERQUE
- en 1741: BERG
- en 1758: BERK sur Mer
et aujourd'hui: BERCK sur Mer
Trois hypothèses sont en compétition: berg ( mont en germanique désignant une colline de sable ) ou bekkr ( ruisseau en scandinave pour la rivière qui y coulait ) et beorc ( bouleau en saxon pour désigner une région boisée )....
Au choix
Isa
Je savais que je pouvais compter sur toi.
Mais peut-être que s'il y avait plus de ces belles orchidées que l'on voit sur le blog de Fifi, on n'aurait jamais appelé cette ville: Berck.
Bisous
Jopathoël
Ps: très chouette la photo de Lola, veillant les orchidées.
Crois-tu qu'on l'aurait appelée: Miam sur Mer ? ou Wouah Plage ? ou Extra Bay ? ou encore Fichtre Les Eaux ?....
Isa
Je préfère laisser la réflexion à Sophie.
Anonyme.
Ps: Non, je rigole, c'est moi J........e
J - Orne moi donc ça ! ou les Aulerces Diablintes et leurs trésors.....
Isa
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