Certains se souviennent peut-être de mon trentième anniversaire... A Sainte-Marie, avec des langoustes, après mon baptème de plongée, tellement inoubliable que j'y ai attrapé le virus (de la plongée, quoique les langoustes, c'est pas mal non plus).
Aujourd'hui, nous sommes 10 ans après et - n'en déplaise à certains d'entre vous- je n'avais pas beaucoup d'enthousiasme à l'idée de rejoindre ce merveilleux club des quadra.
Alors, Philippe m'a offert des confettis un peu particuliers :

Attention! J'arrive.

Si si, c'est moi, la preuve:

Même que je pilote moi-même.
Un coup à gauche, un coup à droite.
Super facile !
Il faut bien retrouver le plancher des vaches à un moment.

Mes enfants ont l'air contents de me retrouver.
Ca fait toujours plaisir...
Bon, d'accord, je me la pète un peu. Mais c'est vrai que je suis très contente de mon petit vol. C'est merveilleux de se prendre pour un oiseau. Et mon côté fainéant y a trouvé son compte: un beau jeune homme s'occupait de tout. C'est pas désagréable.

Heureux hasard ou excellent choix de Philippe ? Il y a un très bon restaurant tout près du lieu d'atterrissage du parapente.

Pas d'anniversaire sans bougie...

Non, Thomas n'a pas un oeil au beurre noir, ce sont ses lunettes de piscine qui sont un peu trop serrées.

Cécile lance une nouvelle mode de serre-tête...
Excellente l'idée du restaurant avec piscine. Tout le monde profite de ce bon moment, sans s'énerver. Les enfants piquent une petite tête entre les plats et tout le monde est content.

A part maman qui fait son intéressante et boude la piscine. Alors, comme il fait au moins 35°, elle a un peu chaud...
Est-il vraiment utile que je dise que j'ai passé une journée extraordinaire ?
Une dédicace spéciale aux Guédon : j'espère que vous n'êtes pas trop fâchés que je vous copie tout le temps, toujours avec quelques années de retard. En tout cas, je vous remercie. Si Olivier n'avait pas été aussi enthousiaste à propos du parapente, qui sait si j'aurais osé essayer ?
Et, bien sûr, merci à Philippe qui m'a concocté tout ça.