Deuxième compétition de taekwondo aujourd'hui pour les marmailles (enfin première pour Cécile qui s'est décidée à participer).
Tout d'abord deux différences très importantes : cela se passe au Tampon au 14km et non pas à Saint André (c'est vachement plus près) et l'absence de Cricri (ça va tout changer).
En avant pour les photos :


Alors on remarque que leurs adversaires sont tous les deux ceinture verte ; le prochain coup je les inscris sous le nom de Morel, ça fait plus local (sans vouloir polémiquer, enfin si !!).

vas-y ma fille

aérien le fiston
Résultat, ils ont perdu avec les honneurs et leurs parents sont très fiers d'eux. On s'accroche, on continue à bosser et le prochain coup, il y aura une médaille.
Sinon pour ceux qui trouvent que le blog est en léthargie ... ils n'ont pas tort. C'est pas que je fais grève ou que l'on m'empêche d'accéder à mon outil de travail, juste que j'ai la flemme, rien d'intéressant à dire et pas de ballade avec de somptueuses photos en ce moment.
Pourtant ici aussi la "révolte" contre la vie chère commence et reprend le flambeau des Antilles françaises avec une grosse différence. Ici pas de "békés" à stigmatiser car parmi la dizaine de familles qui tiennent économiquement la Réunion, il doit y en avoir une ou deux de blanches. Si on enlève les compagnies aériennes et les communications, ceux qui se "goinfrent" avec la grande distribution alimentaire (j'ajoute et spirituelle), les produits de petite, moyenne et grande technologies, l'automobile (et ses dérivés) représentent bien la diversité ethnique de l'île intense. D'énormes monopoles bien répartis se sont constitués et je ne vois pas comment une saine concurrence va un jour voir le jour ici.
Et oui tout n'est pas rose, même au paradis, alors en avant pour la grève générale, bloquons tout ... sauf l'aéroport de Pierrefonds ... car demain on part pour une semaine à Maurice. Ben c'est les vacances scolaires depuis hier et comme on n'a pas de neige, on va barboter dans un lagon de l'île soeur.
Promis je vous ramène des photos, portez-vous bien jusque là.