Et oui, suite à un rendez-vous professionnel à La Saline (dans les hauts de l'ouest), je me suis offert une pose déjeuner au bord de l'eau !!
Cela se compose d'un steak d'espadon (hum), suivi d'une lecture d'une demi-heure sur le sable chaud (hummmm) et enfin d'un petit trempage dans le lagon (bon l'eau n'est plus qu'à 23°c et il y a du vent à cette époque).
Pinaise que c'est dur !!
Je vous montre que je suis bien allé dans les hauts pour le travail.
En fait ça c'est le viaduc de la Grande Ravine en cours de finition pour la Route de Tamarins qui doit régler tous les problèmes (sic) de circulations à partir de 2010.
Parce que mon chantier est la maison - qui a brûlé - d'un enseignant actuellement en Nouvelle-Calédonie (le monde est petit) et qui doit revenir y habiter en 2009.
C'est moins spectaculaire, bien qu'elle ait bien cramée, que le plus grand chantier de l'île. Et puis on voit au fond où je suis allé tremper mes pieds (primordial n'est-il pas ?).
7 commentaires:
Quelle honte, oser montrer ses pieds non bronzés au monde, pourtant le reste donne un aspect bien raisonnable(visage, bras...).
Effectivement le fond du tableau est superbe, alors vue d'en haut, c'est pas mal.
L'eau a 23°, et il ose se plaindre ce Monsieur BRBLion...Les métros sont en théorie à deux jour de l'été et nous accusons encore du 21° ou 24° au mieux. Alors franchement, manger les pieds dans l'eau avec une vue paradisiaque, 'faut croire que rester trop longtemps sur une Île rend les gens blasés( je blague, je suis convaincue de ton enthousiasme comme au premiers jours)...
Pour l'image du viaduc, c'est presque plus beau que celui de Normandie....heu, je ne m'avancerai peut-être pas trop.
Mais bon, le tout reste très chouette. Ça doit sentir bon le bon vivre...
Biz à tous.
Sophie.
21 juin, premier jour de l'été. Paris a bénéficié d'un temps particulièrement chaud. La fête de la musique a tenue ses promesses. Les musiciens étaient au rendez-vous. Chaques années, ils bonifient les performances. Je ne sais pas ce que va donner l'année prochaine, car cette fois, c'était quasi-pro...De partout, je regrette quand même un peu les jeunes gens passionné de leur instrument et voulant faire découvrir aux passants et inconnu leur talent et leur passion, mais bon, je pense qu'ils vont revenir en force et nous donner encore un peu plus de plaisir la prochaine fois.
Biz à tous;
Sophie
Aujourd'hui 24, Paris brule depuis le jour de l'été. Si Paris plage pouvait montrer son nez plus tôt, ce serait pas mal.
Petit question Fifi: lors de tes déplacements professionnels, tu pars en moto ou en 4 roues? Parce que le short( en moto), ça fait quand même peur non?
En attendant le redoux Parisien.
Biz à tous.
Sophie
Les 50 ans de Jean-Claude était très agréable, il y avait du monde et du BRBQ, nous étions partis avant la fin des jeux de Fred, il était 1:30 du matin et les petites filles voulaient dormir. Bref, une dernière soirée à Créteil avant qu'ils ne laissent la maison à d'autres nouveau proprios.
Alors l'agence aurait changé d'adresse...à Champigny s/r marnes si mes infos sont bonnes.
Ariane était au Guy Pride dans l'après-midi.... Exaltant???En tous les cas, c'était une bonne ambiance aussi.
Demain lundi et reste 3 jours avant les vacances des filles.
Biz à tous...
Sophie...
PS: Je me sens un peu seuleeeeuuh, Isa? Manu? Et les autres, vous aimez pas les pieds de Fifi???
Si Sophie, j'ai d'ailleurs fait un comment hors blog, n'arrivant pas à en faire un à l'époque. Désolée d'avoir joué perso !
Isa
Hum que c'est bon de lire quelqu'un, je ne serai pas obligée de regarder le film "just two" de Eric et Ramzy... Puis un petit mot de Isa fait toujours plaisir.
Biz à tous.
Sophie
Cerveau de moule, cervelle de noix!
Ayant trouvé très drôle l'expression d'Isa, concernant une certaine catégorie de la jeunesse actuelle, j'ai récupéré dans mes souvenirs récents une autre expression, toute aussi drôle; mais développons plutôt.
Cerveau de moule est une expression fort bien appropriée pour décrire une certaine couche de la population, plutôt jeune, et dont la mauvaise volonté évidente à réfléchir, voire penser, voire émettre un avis est un effort tel que le temps que la pensée arrive à l'acte, voire à l'expression, le neurone est grillé. En d'autre temps, on aurait dit de cette jeunesse qu'ils ont été lobotomisés, un peu plus tard, on disait « t'as un neurone ou quoi ». Actuellement, le terme cerveau de moule semble bien plus en adéquation avec la confrontation entre un monde adulte élevé avec l'habitude du système D, et une jeunesse incapable de la moindre conceptualisation, voire même du moindre acte constructif, voire de la moindre initiative.
On aurait pu choisir un autre animal que la moule. Par exemple, l'huitre, mais ce serait déshonorer une grande travailleuse, capable de fournir un travail ayant pour résultante une perle, qui fait le bonheur des bijoutiers. On aurait pu choisir un insecte, mais quelqu'il soit, l'insecte est très souvent travailleur, voire actif. On aurait pu choisir un autre mollusque, ou un ver ou même une amibe. Mais quelque soit l'animal, il répond toujours à sa définition, capable de se mouvoir, donc capable d'une quelconque action. En revanche, la moule se fixe et attend. Elle attend le passage de la nourriture, elle regarde passer les éléments nutritifs marins. De temps en temps, elle referme sa coquille au bon moment pour gober un petit crabe. Mais voilà le gros problème de la moule, c'est qu'elle est inactive, et très peu mobile. Et l'idée d'un cerveau de moule, montre bien l'image de l'inactivité et de l'incapacité à se mouvoir à bon escient. Cependant, il convient de faire remarquer, que tous ces gens à cerveau de moule, n'ont pas d'excuse réel à ce qu'il leurs arrive. Vous avez déjà vu, vous une moule prendre le métro avec un casque de lecteur MP3 sur la tête, non! Alors que ces gens à cerveau de moule ont fait un choix dans la vie. Celui de se lobotomiser, de tuer leur unique neurone, et de finir avec un cerveau de moule, alors que la moule, elle, n'a pas choisi.
A cela, je voudrais parler d'une deuxième catégorie de personne, ceux à cervelle de noix. Oh! Bien sur, l'expression n'est pas de moi. J'ai vu ça dans un Kid Paddle. Lui et ses copains racontaient l'histoire selon laquelle, les noix serait des cervelles d'extra-terrestres, que ceux-ci auraient envoyé sur terre, car ils avaient de si grosses têtes qu'ils ne pouvaient rentrer dans leurs soucoupes. Et donc ils comptaient envoyer d'abord les cervelles, puis leurs corps, qui malheureusement, ne pouvaient plus fonctionner sans cervelle. Et donc, ils sont restés coincés sur leur planète. Et ensuite, les cervelles ont séchés dans les capsules, en arrivant sur terre.
Pour dire que les gens à cervelles de noix, utilisent tellement peu leur cerveau qu'ils le laissent sécher comme une noix. C'est vrai, regardez une noix. Une fois sortie de sa coquille, elle est recouverte d'une fine membrane. Des circonvolutions parcourent sa surface, comme sur un cerveau, simplement, les sillons sont plus profonds. Plus profonds, comme si, il avait été (le cerveau) liposucé, de l'intérieur. La matière grise est alors compressée, et forcément inutilisable. Et donc, on se retrouve avec des gens qui comme les premiers sont incapable de se mouvoir par leur propre volonté, et donc encore moins d'agir. Forcément, les noix sont de type végétal.
Si, donc on analyse la situation, on se retrouve avec d'un côté, des cerveaux de moules, et de l'autre des cervelles de noix. L'un comme l'autre sont immobiles, l'un ouvrant la bouche pour gober la nourriture, et l'autre, attendant l'inexorable chute qui va le mener à se faire manger. La grosse différence, c'est que l'un est animal, et on y peut rien, et l'autre est végétal, voire végétatif, et là...
Là, on peut se demander si en réhydratant la noix, il n'y aurait pas un espoir de retrouver un vrai cerveau, à peu près utilisable, les années de sècheresse laissant quand même des séquelles.
En conclusion, je pense que si on ne peut plus rien pour les cerveaux de moules, il reste quand même un mince espoir pour les cervelles de noix.
Ps: petit jeu pour l'été, compter le nombre de "voire" dans le texte.
Grosses bises à tous et bonne lecture. Joel
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