JARDINAGE ET AUTRES PREOCCUPATIONS

Ha nous revoilà, une semaine sans rien sur ce blog c'est long pour vous fidèles lecteurs (non non ne dites rien je le comprends très bien).
Alors cette fois pas de fabuleuse ballade, d'exploits inédits en milieu aquatique, de plage merveilleuse ou de délicieux restaurant typique. Que nenni, faut dire qu'il a plut tout le samedi, un vrai temps d'automne.
Mais la pluie c'est bon pour le jardin ça; alors embarquez pour un petit tour végétal.

Je commence par ma nouvelle lubie : le bambou.
Cela me rappelle le jardin de mon grand-père briviste qui en avait un superbe massif à côté se son cabanon juste avant les clapiers à lapin (souvenirs, souvenirs ...).
Au premier plan celui dit "doré" (ben oui du fait de la couleur de ses feuilles) et derrière celui dit "noir" qui commence à pousser (ben non là c'est à cause de ses tiges foncées). Comme c'est une plante de type invasive (qui pousse comme du chiendent autrement dit) j'ai fait une tranchée de 2m sur 2m et enterré des parpaings pour créer une barrière. Le genre fausse-bonne idée quand la bise fut venue et que je fut tout courbatu et vermoulu.


















Mais ils poussent bien et je les adore (au fond le cocotier qui continue sa croissance; 1 an et un petit mètre de hauteur !!).
Ensuite une curiosité, mi palmier mi fougère qui végétait mais n'écoutant que son courage (et peut-être aussi le fait que j'avais dit que j'allais le couper) est reparti et fait de nouvelles feuilles.


















Mon intérêt a grandi pour lui depuis que j'ai découvert aux Florilèges que cette chose valait plus de 100 euros pour un spécimen de la moitié !!

Plus agréable pour la vue (et l'odeur), les rosiers commencent à s'en donner à coeur joie. Un de mes petits bonheur du matin que d'aller les sentir avant de partir au boulot.












Plus exotique et dans le genre de la fleur jaune-orange présentée ici il y a quelque temps; sa copine délicatement violette. Mais au lieu de croitre verticalement, elle s'étale et chaque "bonbon" se dévoile en une charmante corolle.












Passons aux fruits :
Après le citronnier 4 saisons de l'année dernière (on l'aperçoit derrière à droite) je me lance dans le figuier. Humm pourvu qu'il donne autant que son copain d'agrume.


















Pour terminer ce bucolique tour du jardin, place aux mures locales avec lesquelles on a fait un essai (réussi, le pot est presque vide) d'une délicieuse gelée. Remarquez leur forme allongée (près de 2 cm de long) caractéristique de la variété indigène (celles de métropole ne pouvant s'acclimater faute de gelée nécessaire à leur épanouissement). La récolte va battre son plein dans peu de temps, on va se régaler et se ternir les doigts.


















Sinon le Top 14 a repris et je dois dire que Liedenberg nous a bien manqué au centre de l'équipe de France et que le "petit" Saubade a tout pour accélérer les ailes de cette même bande de 15 joyeux lurons.